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jeudi, 14 mars 2013

L'accord de compétitivité chez Renault, ça roule

 

Ca commence à bouger dans les relations sociales, il est vrai sous la pression du risque des pertes d'emploi.
Chez Renault, les syndicats représentant 65 % des salariés, CGT exceptée, ont signé l’accord pluri-annuel de compétitivité. L'objectif est d'abaisser le coût de revient des usines françaises.
Concrètement, les salariés passeront de 32 à 35 heures de travail hebdomadaire, gèleront leurs salaires en 2013 et accepteront la perte de 7 500 postes, sans licenciement. En contrepartie, aucune implantation ne sera fermée jusqu'en 2016 et les volumes de production seront accrus de 33 % par l'apport d'activités des partenaires Daimler et Nissan. Selon la direction, l'accord ferait gagner 300 euros par véhicule, soit une réduction de coût annuelle de 400 millions d'euros.
D'autres entreprises devraient prendre le chemin de Renault. On parle de Peugeot, Bosch à Vénissieux et de la Fonderie de Bretagne, reprise par Renault.

 

vendredi, 08 mars 2013

Les centrales nucléaires anglaises insuffisantes pour relever le défi énergétique

Trop vieux, trop cher : le renouvellement du parc nucléaire anglais qui porte sur un supplément de 16 gigawatts de capacité d'ici 2025, prend du retard. En cause, les retards provoqués par le renforcement des exigences des Autorités de surveillance, après l'accident de la centrale japonaise de Fukushima en 2011, mais aussi le retrait du marché des acteurs nationaux et des allemands E.ON et RWE.
Les députés britanniques demandent donc au gouvernement d'élaborer dès aujourd'hui une politique énergétique alternative et ce « de toute urgence », comme le souligne Tim Yeo, le président de la commission parlementaire sur l'énergie et le changement climatique.