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mardi, 25 octobre 2011

La performance peut-elle être aussi sociale ?

Telle est la question posée par le mouvement « Pour un nouveau pacte social fondé sur la confiance et la performance ». France Télécom Orange, GDF SUEZ, General Electric, L’Oréal, Renault et Suez Environnement, membres de ce mouvement, ont présenté hier les résultats de leurs travaux de réflexion.

Sur la performance sociale, ils ont dégagé deux pistes de réflexion :

1 - engager la réflexion - au sein de chaque entreprise - sur une définition simple et partagée de la performance sociale à l’échelle internationale,

2 - réfléchir à la construction d’un référentiel homogénéisé d’indicateurs de pilotage de la performance sociale.

Sur l’intégration de la performance sociale au pilotage stratégique de l’entreprise, deux autres pistes ont été définies :

3 - concevoir le reporting social comme l’un des outils du pilotage stratégique,

4 - prendre en compte l’impact de la performance sociale sur la création de valeur,

5 - intégrer la performance sociale à la Gouvernance.

Sur le nouvel élan à donner à l’engagement social de l’entreprise, ils sont tombés d’accord sur trois autres pistes :

6 - associer plus étroitement les salariés au projet d’entreprise

7 - renouveler le dialogue social

8 - repenser le rôle social de l’entreprise vis-à-vis de ses parties prenantes, et plus globalement, de la Société Civile.

Au total, beaucoup d’idées généreuses mais insuffisamment précises si l’on excepte celle de la création d’un nouvel actif financier, le « goodwill social » qui serait comptabilisé en investissement plutôt qu’en charges (de formation par exemple).

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